Bonjour,
Dans ce contexte, plusieurs éléments doivent être pris en compte.
Selon la jurisprudence, pour contester une rétrocession, il est nécessaire d'avoir la qualité de candidat évincé.
Si vous n'avez pas été officiellement candidat ou si vous n'avez pas été notifié de l'attribution, cela pourrait limiter vos options.
En effet, un agriculteur qui ne s'est pas porté candidat au prix fixé par la SAFER n'a pas qualité pour agir en nullité de la rétrocession.
Si la SAFER a exercé son droit de préemption, il est important de vérifier si les conditions de cette préemption ont été respectées.
L'article L. 143-10 du code rural et de la pêche maritime stipule que si le vendeur n'accepte pas l'offre de la SAFER, il peut retirer le bien de la vente ou demander la révision du prix au tribunal.
Si vous avez des éléments prouvant que le prix était exagéré ou que la procédure n'a pas été respectée, cela pourrait constituer un fondement pour un recours.
Concernant l'indemnisation du vendeur, il est essentiel de vérifier si la SAFER a respecté ses obligations d'information et de notification.
Si le vendeur a été mal informé ou si la procédure a été entachée d'irrégularités, cela pourrait également ouvrir la voie à une négociation ou à un recours.
Merci d’indiquer la question comme résolue.
il y a 6 jours
Bonsoir ,
J’ai été candidat et aux prix identique retenu
il y a 6 jours
J’ai été notifié d’une attribution partielle à d’autres personnes , en lettre simple
il y a 6 jours
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